Décomplexé et instructif, ce balado s’adresse à ceux et celles qui veulent mieux comprendre leur sexualité et… oser! Entourée de personnalités et de spécialistes, Varda Étienne discute, avec humour et franchise, de jouets sexuels, de préliminaires, de pornographie, etc. C’est bien connu, tout le monde a un ami ou une amie qui a des questions gênantes sur le sexe. Varda et son équipe sont là pour lui fournir des réponses!
Je participe à plusieurs épisodes de Je demande pour un ami.
Le sexe sans amour
Faire l’amour sans engagement peut être vraiment satisfaisant. Ça peut prendre la forme d’une « amitié avec bénéfices » ou juste d’un butinage d’une histoire d’un soir à l’autre. Chose certaine, ce type de sexualité stimule la discussion entre l’humoriste Mélanie Couture et la sexologue Myriam Daguzan Bernier. De son côté, Varda confie être à la recherche d’un compagnon de vie plutôt que d’un amant de passage. Et toutes se demandent : l’asexualité et, inversement, l’aromantisme sont-ils des troubles?
Les odeurs corporelles
Avoir peur que son vagin sente mauvais, c’est normal. Par contre essayer de contrôler son odeur corporelle avec des parfums ne sert à rien. L’odeur de fleur de coton ou d’escapade en forêt, c’est bien pour la lessive, mais certainement pas pour votre chaudron. Varda, l’humoriste Mélanie Couture et les spécialistes Myriam Daguzan Bernier et Johannes Frasnelli expliquent les origines des odeurs intimes et leurs fonctions. Elles discutent aussi des nombreux produits tendance qui promettent de les masquer ou au contraire de les utiliser pour attirer des partenaires! Bonbons à l’ananas pour que sa vulve goûte le fruit, parfums à base de sécrétions sexuelles ou encore déodorants pour testicules, rien ne leur passe sous le nez!
Le sexe et la routine
Ah! la routine, cet ennemi numéro un du couple moderne. Jonathan Roberge illustre avec humour comment la sexualité et les tâches récurrentes du quotidien ne font pas bon ménage. Avec la sexologue Myriam Daguzan-Bernier et l’organisatrice professionnelle Mylène Houle-Morency, on explore les façons de préserver le désir dans le couple, que ce soit par l’envoi de textos ou en se prêtant à des jeux réinventés pour éviter l’ennui à deux. À partir de maintenant, place à la créativité et à la communication!
Le BDSM
Varda Étienne veut savoir pourquoi on pratique le BDSM (bondage, discipline/domination, soumission, sadomasochisme ), au-delà de l’utilisation au lit de menottes et de plumes. Selon la sexologue Myriam Daguzan-Bernier, cette pratique de jeux sexuels est caractérisée par l’érotisation de la douleur. Bref, il s’agit d’un moyen de découvrir d’autres façons d’éprouver du plaisir. Avec Yevdhora Fleshook, qui organise des soirées de ce genre, il est question de l’importance de la communication au cœur de ces jeux d’exploration.
Le sexe et les complexes
« Un complexe, c’est comme un petit frère gossant. Aussitôt que tu veux avoir de la sexualité, il se pointe comme un ressort. » L’humoriste Mélanie Couture décrit ainsi l’effet des complexes, qui sont souvent un frein au plaisir et à l’orgasme. Parmi les plus fréquents, on compte le surpoids et l’apparence des parties génitales, selon ce que nous apprend la sexologue Myriam Daguzan Bernier. Pour son « coucou coquin », Varda appelle son amie Catherine Gareau-Blanchard, qui raconte comment le fait de poser nue pour un cours de dessin a changé sa façon de voir son corps.
La libido et le désir
« Le niveau de désir sexuel d’une personne peut varier énormément au cours d’une vie, voire d’une journée à l’autre. Pour l’humoriste Mélanie Coutre, il « change aussi souvent qu’une perruque de drag queen ». La sexologue Myriam Daguzan Bernier démystifie les croyances autour du désir au lit et explique ce qui peut lui faire obstacle. Et pour son « coucou coquin », Varda parle avec une femme qui a retrouvé sa libido grâce à la sexothérapie.»
Le sexe et la santé mentale
Quand la santé mentale vacille, la sexualité écope parfois. L’humoriste Jonathan Roberge évoque son diagnostic de trouble panique avec agoraphobie pour raconter ses inconforts sexuels. La prise d’antidépresseurs, ses « paparmanes à bonheur », l’empêchent souvent d’atteindre l’orgasme. Heureusement, la sexologue Myriam Daguzan Bernier est là pour répondre à ses questions. Par ailleurs, Varda Étienne affirme avec émotion que ses troubles mentaux ne la définissent pas.
L’orgasme féminin
L’orgasme féminin est source d’émotions : extase divine et bonheur, mais aussi honte, malaise et même frustration. Mélanie Couture raconte sa découverte précoce des « plaisirs du clito » et dénonce les diktats concernant l’orgasme féminin, notamment la pression pour l’atteindre. Myriam Daguzan Bernier exprime son exaspération au sujet des mythes voulant entre autres que l’orgasme féminin soit « compliqué », et que les femmes soient divisées entre « clitoridiennes » et « vaginales ». Pour son « coucou coquin », Varda discute avec une femme qui a longtemps eu de la difficulté à jouir.
L’imaginaire sexuel
L’imagination coquine, notamment inspirée de fantasmes et de rêves, nourrit l’excitation sexuelle et la singularité érotique. Selon l’humoriste et animateur Jonathan Roberge, une personne peut tout à fait être comblée sexuellement dans son couple et jouir de scénarios imaginaires avec d’autres. La sexologue Myriam Daguzan Bernier fait la distinction entre fantasme et désir, et parle de l’incidence de la pornographie sur le développement de notre imaginaire érotique. Pour son « coucou coquin », Varda s’adresse à une victime de violences sexuelles qui s’est tournée vers la littérature érotique pour se réapproprier sa sexualité.
Le sexe et la ménopause
En guise de préliminaires, l’humoriste Mélanie Couture raconte son expérience de la périménopause et évoque sa baisse de libido : « Mon appétit est sur un coupe-faim sexuel. » La sexologue Myriam Daguzan-Bernier explique les différences entre périménopause et ménopause, de même que leurs effets sur le corps, comme la sécheresse vaginale et les bouffées de chaleur. Pour son « coucou coquin », Varda reçoit le Dr Frédéric Bernier, qui démystifie l’andropause, parfois vue comme l’équivalent de la ménopause pour les hommes, et qui est caractérisée par la baisse de la testostérone liée au vieillissement.
Le désert sexuel
On peut traverser des périodes sans relations sexuelles de façon involontaire, mais aussi par choix. « Ce peut être une quête pour mieux savourer [le plaisir] », philosophe l’humoriste Erich Preach. La sexologue Myriam Daguzan Bernier explore les nombreuses circonstances qui peuvent expliquer le désert sexuel et l’abstinence. Pour son « coucou coquin », Varda appelle l’écrivaine Claire Legendre, qui a écrit un livre sur le désert amoureux : Ce désir me point.
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